mardi 13 janvier 2009

Notre premier weekend au Chili et ce qui s'est passé après

En me foutant complètement du titre de ce petit texte, je vous annonce LA grande nouvelle: NOS BAGAGES SONT ARRIVEES AUJOURD'HUI!!!! Après une semaine de voyage par je ne sais pas où (et ne pensez pas que le personnel d'Air France en savait plus que moi), quand Air France se ventait en disant que pendant le weekend, ils ont distribué au monde entière 45000 bagages perdues, le téléphone sonna et notre guardien m'a annocé que les bagages sont en bas. Il y a donc la marjolaine du jardin de ma grand mère avec le safran indien (produits interdits, sans doutes, personne a regardé le scanner) qui sont arrivés, il y a la bouteille de slivovice avec sa copine polonaise la vodka qui sont là, il y a les deux disques durs du Cosmonaute qu'on a retrouvé, il y a mon acte de naissance et ma linge propre dont on a repris la possession, et finalement aussi l'Hibou Voyageur, une petite décoration de Noël que Myriam, la compagne du père du Cosmonaute m'a glissé dans mon sac, qui nous a retrouvé. L'Hibou semble être vraiment assez indépendant avec une envie de voyager seul. Et une des valises, juste après son arrivé dans notre chambre, tomba et cassa une table en verre. Mais bon, le verre cassé, ça apporte de la chance.

Mais racontons en ordre. Nous avons passé le weekend à Santiago. D'abord, on n'a pas eu notre matériel de montagne et on n'a pas osé à marcher dans nos tongues premier prix, et aussi, il fallait voir un peu la ville pour décider où on a envie d'habiter. Samedi, nous sommes donc allés à Providencia, le quartier où habite Paulina, notre conseilleur de logement. On a marché jusq'à la Bellavista, le quartier de Neruda en traversant Mapucho. Sur le photo, vous pouvez ainsi voir la rue de Neruda, qui n'a rien à avoir avec la rue de Neruda à Prague, car il n'y a pas un seul bar. Mais au Chili, il y en a partout autour, donc ça va.

Après, nous sommes montés la colline St. Christóbal qui culmine à 830 mètres. surplombant ainsi la pollution de Santiago. Dans sa moitié, il y a un ZOO et tout là haut, il y a une église gigantesque sous la belle étoile. On vous passe bonjour de là-bas.
Nous avons continué par une autre télépherique Made in Grenoble ce qui rejouissait nos âmes, d'autant plus que les Chilien n'importent quasiment rien. C'est gentil de leur part pour la planète, d'autant plus que sinon, ils ont plutôt la tendence de se foutre comlètement de l'environement et personne ne savait pas à nous dire comment trier la poubelle, mais on était quand même contents de trouver un truc français, surtout avec une télépherique bien vieillotte qui, s'il était pas faite par des experts, risquerait de tomber après 30 ans de service.

Samedi soir, nous sommes allés manger à une resto de luxe, Cuerovaca, où vous pouvez goûter par ailleurs aussi la viande de kobe. Cette viande vient d'un bouef qui passe ses journées à se faire masser avec la bière et puis aussi à picoler la bière et comme l'alcool est dangereux pour la santé, il en est mort, car on le tue après pour bouffer sa viande très tendre et avec un odeur spécial. Notre propre chair devrait sentir plutôt le vin rouge Parcela Numero 7, le meilleurs des vins chiliens dont on a bu pour le moment et dont on a descendu deux bouteilles. Puis Dominique, un collegue du Cosmonaute et LE client fidel de Cuerovaca, nous a suggeré de boire un digéstif ce qui était une grande faute. On s'est dit qu'un verre de cognac à 7 euro, c'est pas vraiment donné, mais on savait pas qu'un verre veut dire une moitié de la bouteille. Et comme le cognac était excellent, on a bu nos verres et puis on avait un epu du mal a rentrer.

Le lendemain, on a passé donc la journée un peu par la détoxication au lit, mais le soir, nous avons finalement decidé de aller au centre ville pour voir la marché central. Car il vous bien faut une marché, car les légumes au supermarchés donnent pas trop envie et la taille des certaines légumes fait penser qu'elles réçoivent des massages quotidiennes des produits chimiques et des modifications génétiques.

Finalement on a fait quelques aller-retours au centre ville, morte dans la soirée de dimanche, on a vu la Plaza de Armas et le La Moneda, où Allende s'est tiré une balle dans la tête après le putch de Pinochet.


Mais comme vous pouvez voir sur les photos, la dictature n'a pas vaincu l'esprit revoluitonaire des chiliens. D'un côté, il y a des coins de Santiago qui rappellent bien de l'architecture des villes sovietiques, de l'autre côté, il y a des tableaux révolutionaires partout. Mon banner vient de la rue de Neruda. Et avoilà comment la révolution continue hasta la victoria simpre dans un resto en Providencia.








La revolution rouge comme le vin...

Dans la semaine, nous avons continué à faire connaissance avec la ville et ses habitants, surtout les européens pour le moment. On a donc passé lundi soir avec des collegues du Cosmonaute dans le quartier de Bellavista dont les restaurants et bars ne sont jamais vides. Voilà un petit video du lundi soir pendant la morte saison des vacances d'été.



Alors, je vous souhaite bonne journée. Je viens de recevoir le message que nos valises sont arrivées déjà hier, mais qu'elles sont passées une nuit et la journée à l'aéroport de Santiago. Une caractéristique des chiliens, c'est qu'ils ont tout le temps l'aire d'être très occupés, mais tout prend énormement du temps. "Pas de temps d'amener des valises", alors. D'ailleurs, je vous a préparé une petite question. Quelle herbe aromatique fait partie de TOUT les plats chiliens au point qu'elle vous écoeure après une semaine? Votez sur le banner à droit. Et si vous voulez voir toutes mes photos, cliquez .

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